• Pokemon Typing DS : Nouveau clavier annoncé officiellement

    par bertrand1090, le 07/10/2011 à 11:16

    Pokémon

    Nintendo a annoncé officiellement un clavier de couleur noire pour le jeux Pokemon Typing DS : Battle Get ! Ce clavier n'offrira rien d'autre de particulier au jeu ! 

    Voici le clavier : 

    Pokemon Typing DS : Battle Get

    Pour rappel, une vidéo trailer du jeu : 



     


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  • Nightwing jouable dans Batman Arkham City ?

    • PCMacPlaystation 3Xbox 360 le 03-10-2011 par la rédaction
    • Nightwing jouable dans Batman Arkham City ?D'après une liste de succès apparue de nulle part sur le net, il semble que Nightwing soit jouable dans Batman Arkham City, ou plutôt dans l'un des DLC prévus pour le jeu. Deux succès mentionnent en effet qu'il faudra ramasser un certain nombre de médailles avec Nightwing dans le jeu normal dans le pack Nightwing pour décrocher quelques gamer points. Le personnage n'a toutefois pas encore été officiellement confirmé par Warner Bros.

       


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  • Affûtez votre baïonnette et faites le plein de votre tronçonneuse, vous aurez des tranches de Locustes et de la bouillie de Lambents au dîner ce soir ! Les Gears reprennent du service et ils ont besoin de vous pour tenter une dernière fois de sauver l'humanité. Vous avez une impression de déjà-vu et vous avez peur qu'on vous serve une soupe qui a un goût de réchauffé ? Détrompez-vous, ce troisième opus risque bien de vous surprendre et il surpasse même ses aînés sur un bon nombre de points.

    Gears of War 3

    Est-il encore nécessaire de présenter la série des Gears of War ? La licence est devenue un grand classique du TPS et a même inspiré bon nombre d'autres productions, à tel point que l'on peut se demander aujourd'hui si elle n'a pas donné naissance à un sous-genre particulier. Le premier épisode est sorti près d'un an après le lancement de la Xbox 360 et il s'est rapidement imposé comme le titre de référence qui montrait ce que la console avait véritablement dans le ventre. En débarquant il y a deux ans, le second opus a encore repoussé les limites et nous a prouvé que l'on pouvait accoucher d'une aventure encore plus intense et plus impressionnante. Cette suite se montrait aussi plus sombre que son aîné et une nouvelle menace venait s'ajouter aux attaques des Locustes : les terribles Lambents, des sortes de mutants jaunâtres qui explosent en rendant l'âme. Le seul moyen trouvé par les Gears pour limiter cette double invasion passait par le sacrifice de la ville de Jacinto qui était pourtant le dernier bastion de l'humanité. Les survivants n'avaient alors plus qu'à prendre la mer pour chercher refuge sur des îles...

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 195La puissance de feu du Silverback n'est pas de trop face à ce type de bestiole.

    Ce troisième épisode nous transpose deux ans après la catastrophe de Jacinto. La CGU est plus ou moins dissoute de facto depuis la disparition du président Prescott. Les îles sur lesquelles les Gears avaient trouvé refuge ont à leur tour été victimes de l'invasion Lambent. Voilà donc nos héros forcés de remonter sur leurs bateaux pour tenter de se faire une petite place sur le continent. Le scénario débute avec le retour surprise de Prescott, et ce dernier n'est pas arrivé les mains vides puisqu'il apporte un enregistrement prouvant que le père de Marcus est bel et bien vivant. Evidemment, c'est aussi le moment choisi par les Lambents pour lancer une attaque d'envergure sur le navire... Ces monstres éclosent directement arme à la main sur d'énormes tiges qui surgissent du sol. On a donc droit à un démarrage sur les chapeaux de roue qui nous en dit long sur le rythme de ce nouvel opus. Les anciens de l'escouade Delta répondent présents au rendez-vous : ils vont naturellement partir à la recherche du père de Marcus et encore une fois essayer de sauver le monde au passage.

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 196Le Rétro-Lanzer permet de charger tête baissée.

    Ce pitch vous semble convenu et vous fait sourire ? Vous auriez tort de vous moquer, le second épisode nous livrait déjà un scénario qui tenait la route et ce troisième opus enfonce le clou en nous proposant son lot de révélations. La campagne comporte juste assez de zones d'ombre sur les aventures de certains membres de l'équipe pour laisser de la place à quelques chapitres supplémentaires en DLC... Cette campagne est peut-être un peu moins spectaculaire que celle du volet précédent, mais elle est certainement plus intense. On a tout de même droit à un épisode riche, une forme d'apothéose qui clôture parfaitement l'intrigue amorcée avec le premier volet de la série. Attention, ce troisième opus n'appelle clairement pas de suite, mais ça ne signifie pas pour autant la fin de la licence. Il y a clairement encore de quoi nous concocter une préquelle en nous plongeant par exemple dans les Guerres Pendulaires ou pendant les événements de l'Emergence Day... Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs et prenons pour l'instant le temps de profiter de la campagne de ce Gears of War 3. Cette dernière s'avère d'ailleurs un poil plus longue que les précédentes et vous occupera une dizaine d'heures durant pour vous trimballer dans des environnements particulièrement variés.

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 197Le fait de porter une armure ne suffit pas à donner le sourire à un Kantos.

    La grosse nouveauté de cette campagne est naturellement d'être jouable en coopération à quatre en ligne. Du coup, même quand vous vous lancez en solo, vous avez toujours droit à l'appui de trois coéquipiers. Les équipes d'Epic Games en ont naturellement profité pour rehausser le niveau des affrontements. En clair, attendez-vous à en prendre plein la figure ! On remarque au passage que les IA alliées font bien leur part du boulot, mais, si vous êtes du genre autoritaire, vous pouvez tout simplement marquer les cibles prioritaires pour qu'elles vous en débarrassent. Ces petits collègues s'avèrent aussi bien utiles car vous pouvez piquer les armes qu'ils portent. Ils se transforment ainsi en véritables petites armureries ambulantes. D'un point de vue purement technique, on reste forcément bouche bée devant les environnements traversés qui sont à la fois plus colorés, plus vivants et plus variés que ceux des précédents opus. C'est une vraie réussite au niveau des graphismes même si les visages manquent toujours d'expressivité. Seule petite ombre au tableau, nous avons pu constater quelques ralentissements lors de la campagne mais ces derniers ont disparu lorsque nous avons installé le jeu sur le disque dur et que nous sommes revenus dans ces chapitres... On peut donc difficilement tenir rigueur au titre de ce léger détail.

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 198Comme son nom l'indique, le One-Shot est redoutable.

    En termes de gameplay pur et simple on retrouve bien entendu les fondamentaux de la série. Pas de surprise, c'est toujours aussi bourrin et il faut toujours prendre garde de rester à couvert quand les balles fusent de tous côtés. On a droit logiquement à une jolie surenchère : les exécutions sont plus gore et les nouveaux ennemis sont souvent plus robustes. Si les Tickers sauvages se contenteront de vous foutre en rogne en avalant les munitions qui traînent sur le champ de bataille, vous aurez un peu plus de mal à venir à bout d'un Kantus cuirassé... Le camp Lambent vous réserve aussi quelques surprises avec des créatures hideuses pourvues de tentacules crachant des flammes. Vous aurez beau faire exploser la bestiole, cet étrange appendice continuera d'essayer de vous cramer les fesses. Un drôle de petit mécha fait aussi son apparition, le fameux Silverback, sa sulfateuse et son lance-grenades vous donneront l'occasion de faire rapidement le ménage dans les rangs Locustes. Les équipements habituels ont eu droit à un petit lifting assez appréciable. Chaque arme dispose ainsi désormais d'une jauge de rechargement éclair qui lui est propre, lui conférant au passage une personnalité particulière. Le fusil d'assaut Kaomax a aussi subi quelques modifications : il dispose d'un plus petit chargeur mais il a gagné un peu en puissance d'arrêt et en précision, et il est surtout désormais possible de passer en iron sight pour ajuster ses tirs. Pour faire simple, l'arme trouve enfin un intérêt.

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 199Certains Lambents sont particulièrement coriaces.

    On retrouve aussi bien entendu quelques nouvelles armes assez marrantes, la plus emblématique étant certainement le Rétro-Lanzer. Il s'agit de l'ancêtre de l'équipement de base de tout bon Gears : prenez un Lanzer classique, diminuez sa capacité et sa précision mais augmentez sa puissance, et remplacez surtout la tronçonneuse par une baïonnette. L'arme est moins efficace au corps-à-corps mais elle permet de foncer dans le tas pour embrocher ses ennemis. Au rayon des nouveautés on trouve aussi le fusil à canon scié qui explose tout ce qui se trouve à courte portée, le Digger qui envoie des grenades souterraines qui font ensuite surface derrière les obstacles (idéal pour déloger un adversaire à couvert) ou encore les grenades incendiaires qui répandent un feu destructeur sur toute une zone. Le One-Shot mérite aussi le détour : il s'agit d'un énorme fusil de snipe qui met quelques secondes à ajuster un ennemi mais qui le tue généralement d'une seule balle. Reste encore le canon Vulcain, une pétoire si disproportionnée qu'il faut deux Gears pour la manier, un qui ajuste tout ce qui bouge et l'autre qui actionne le chargeur un peu comme un orgue de barbarie. On a gardé le plus impressionnant pour la fin, vous pourrez aussi piquer les fendoirs qu'utilisent certains Boomers : c'est une énorme épée qui n'est pas évidente à manier mais qui est dévastatrice au corps-à-corps. En toute honnêteté, cette arme n'est pas très pratique mais il est incroyablement jouissif de la brandir sur le champ de bataille.

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 200Il faut désormais organiser ses défenses dans le mode Horde.

    Ce troisième opus est bourré de petites améliorations qui vous faciliteront la vie. Le multijoueur propose par exemple toujours une progression par niveaux mais il est désormais possible de gagner aussi ces précieux points d'expérience pendant la campagne. Il suffit aussi désormais d'actionner une touche pour voir non seulement la position des coéquipiers, mais aussi pour avoir un aperçu de la direction du prochain objectif. On retrouve d'ailleurs cette fonctionnalité en multijoueur pour voir l'emplacement des armes et des alliés à travers les murs. Mais l'ajout qui devrait réellement réjouir les fans est sans aucun doute le mode Arcade. Il s'agit tout simplement de faire la campagne en coopératif ou en solo et de décompter des points en fonction de vos performances. Plus vous tuez d'ennemis, plus votre multiplicateur de points augmente, et ce dernier descend rapidement lorsque vous êtes à terre. Il est aussi possible d'ajouter des options marrantes pour pimenter les parties ou pour vous faciliter la tâche en utilisant des « mutators ». Il s'agit de modes que vous pouvez choisir d'activer ou non une fois que vous les avez débloqués : ils feront par exemple en sorte que vos ennemis guérissent, que le corps-à-corps tue instantanément, que le sang soit remplacé par de jolies fleurs... Des bonus ou des malus d'expérience sont liés à ces mutators quand ils modifient la difficulté. Au final, on se retrouve avec un mode Arcade vraiment fun qui apporte une belle rejouabilité à la campagne en permettant aux plus acharnés de se tirer la bourre sur le Net.

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 201La mire du Kaomax en fait une arme très efficace à distance.

    Les nouveautés concernent bien entendu aussi les modes dédiés au multijoueur. On retrouve ainsi le mode Horde mais ce dernier a subi un total ravalement de façade. Il ne s'agit plus d'attendre bêtement les vagues d'ennemis, il faut désormais organiser sa défense. Les frags vous permettront d'amasser un trésor de guerre dans lequel vous piocherez pour installer par exemple des barbelés ou des tourelles automatiques, pour ensuite réparer tout ce matériel ou pour l'améliorer. Le mode prend ainsi un véritable aspect tactique ! On voit aussi apparaître un mode Bestial qui est le pendant de ce mode Horde : il s'agit toujours de faire équipe avec quatre autres joueurs mais on incarne ici des Locustes et on doit venir à bout de tous les humains avant le temps limite. L'argent récolté permet cette fois-ci d'incarner des monstres de plus en plus puissants : vous vous voyez davantage en petit Ticker ou en gros Boomer ? Ces deux modes très complémentaires ne manqueront pas de séduire les joueurs avides de coopération, mais le multijoueur est aussi synonyme de compétition.

    Test Gears of War 3 Xbox 360 - Screenshot 202Tout est une question de scoring dans le mode Arcade.

    On retrouve pour l'occasion des parties réunissant jusqu'à dix joueurs autour d'une dizaine de maps très sympathiques. Encore une fois, ces environnements semblent vraiment vivants et dynamiques : vous risquez par exemple de recevoir un panneau des scores sur le coin de la figure ou d'être pris dans une tempête des sables en pleine partie. La plupart des modes sont de grands classiques (Zone de Guerre, Exécution, Roi de la Colline et Ailier) mais le mode Match à mort en équipe a subi un petit lifting. Chaque équipe dispose désormais de 15 tickets de respawn, une fois ce stock écoulé, c'est la mort subite et vos coéquipiers tombés ne peuvent plus revenir au front. Ce système permet d'éviter les attentes interminables aux morts précoces et rendent les parties encore plus dynamiques. Les modes Fugitif et Leader ont été réunis pour donner naissance à un Capture du Leader vraiment excitant. Il s'agit ni plus ni moins d'un Capture The Flag avec un joueur à la place du drapeau. Ce dernier est transporté comme un vulgaire sac de patates lorsqu'il est mis à terre. Il n'en mène pas large lorsqu'il est ainsi captif et il doit se contenter de se débattre de temps en temps en espérant que son équipe vienne le libérer. Bref, que rajouter de plus ? Que ce multijoueur profite aussi de serveurs dédiés pour assurer une meilleure connexion au plus grand nombre ? N'en jetez plus, ce Gears of War 3 s'annonce encore comme une véritable tuerie en ligne. Vous l'aurez compris, il n'en fallait pas plus pour nous séduire et pour nous convaincre que ce troisième opus est largement à la hauteur de ses aînés.

    Miniblob, le 15 septembre 2011

    Les notes

    • Graphismes 18/20

      On reconnaît que les visages ne sont pas très expressifs, mais c'est bien là le seul reproche que l'on peut trouver à faire sur la réalisation de cet épisode. En effet, attendez-vous à une véritable claque graphique avec des décors riches, variés et encore plus détaillés que lors du précédent opus. On remarque que la série prend des couleurs au fil des épisodes sans pour autant perdre sa forte identité visuelle. Bref, attendez-vous à en prendre plein la rétine !

    • Jouabilité 19/20

      Les habitués retrouveront bien entendu les ingrédients qui avaient fait la particularité des précédents opus mais quelques améliorations bien senties en ont profité pour faire leur arrivée. Le Koamax trouve ainsi enfin une vraie utilité et de nouvelles armes sympathiques sont apparues. Notez aussi que les bots et les ennemis bénéficient tous d'une IA digne de ce nom qui ne vous décevra pas. La campagne est certainement un peu moins spectaculaire que celle de l'épisode précédent mais en contrepartie elle gagne en intensité.

    • Durée de vie 17/20

      Comptez une bonne dizaine d'heures pour la campagne, c'est un poil plus long que les épisodes antérieurs mais cela ne doit pas vous empêcher de débuter directement en Vétéran si vous êtes un habitué de la série. Vous pouvez aussi compter sur une vraie rejouabilité par le biais du mode Arcade qui permet d'apporter un peu de fun à la campagne. Les modes purement multijoueurs constituent un véritable régal et risquent bien de vous tenir occupé un bon petit bout de temps.

    • Bande son 17/20

      La bande-son est toujours aussi intense avec des voix françaises gutturales à souhait... même si ces dernières ont du mal à faire oublier une synchronisation labiale souvent inexistante. Les thèmes musicaux sont bien sentis : ils parviennent aussi bien à soutenir l'action qu'à faire passer une petite dose d'émotion lorsque le scénario s'y prête.

    • Scénario 15/20

      Ne riez pas, le scénario de ce troisième épisode constitue véritablement une bonne surprise : il faut attendre cet opus pour découvrir enfin contre qui on se bat réellement depuis tout ce temps et comment cette guerre a débuté...

    • Note Générale 19/20

      En toute honnêteté, on pensait que ce troisième opus aurait tout de même un petit arrière-goût de réchauffé mais il faut reconnaître qu'il n'en est rien et qu'il s'impose même comme le meilleur opus de la série. Non seulement la campagne tient toutes ses promesses, mais ce Gears of War 3 propose aussi des modes multijoueurs intenses et bien conçus qui promettent de vous scotcher au Live des heures durant. Au final, il s'agit donc là d'une formidable conclusion qui devrait combler sans problèmes tous les fans de la licence.

      Infos jeu

      • Editeur : Microsoft
      • Développeur : Epic Games
      • Type : Action
      • Multijoueurs : deux joueurs en local, jusqu'à dix joueurs en ligne
      • Sortie France : 20 septembre 2011
        (4ème trimestre 2011 aux Etats-Unis)
      • Version : française intégrale
      • Classification : Déconseillé aux - de 18 ans
      • Similaire à :
        Warhammer 40.000 : Space Marine

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    TGS 2011

     

    Comme chaque année, le Tokyo Game Show se déroule dans la capitale japonaise et nous permet de prendre la tension du marché japonais du jeu vidéo. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en ce moment, la plupart des productions venues de l'archipel se font fortement distancer par les productions occidentales. Néanmoins, nous couvrons quand même ce salon qui permet de voir quelques titres intéressants. Comme chaque année, Nintendo n'est pas présent, mais nous avons choisi d'inclure dans ce dossier les éléments que le géant a diffusés lors de la conférence qu'il a tenue en début de semaine. Pour ne rien rater du TGS, vous n'aurez donc qu'à venir régulièrement sur cette page mise à jour en continu !

     

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  • La plupart des jeux, même les plus violents, cherchent à vous fournir une excuse ou un semblant d'explication pour justifier les massacres que vous commettez. Bodycount n'est pas aussi hypocrite ! Il ne prend pas la peine de s'encombrer d'un scénario digne de ce nom et se contente de vous plonger la tête la première dans l'enfer de la guerre... Il ne faut malheureusement pas croire que cela suffise à en faire un bon jeu.

    Bodycount

    Les créateurs de Bodycount n'en sont pas vraiment à leur coup d'essai en matière de FPS explosif. On leur doit en effet déjà un certain Black, un titre sorti en 2006 sur PS2 et Xbox et qui ne faisait pas dans la dentelle. Le jeu ne permettait par exemple pas d'ouvrir les portes autrement qu'en les détruisant... Il ne s'agissait certainement pas du titre du siècle mais il proposait un bon défouloir aux joueurs en mal d'adrénaline. On s'attendait logiquement à retrouver plus ou moins le même cocktail détonnant avec Bodycount. Le pitch de ce dernier est en soi prometteur : vous incarnez l'agent d'une organisation secrète qui défend la paix à travers le monde en détruisant tout sur son passage. En somme, il s'agit de faire la guerre à la guerre en tuant tous les participants, un point de départ tellement absurde qu'il pourrait être mis à profit pour nous faire rire. Malheureusement, Bodycount se prend bien trop au sérieux pour s'avérer drôle...

    Test Bodycount Xbox 360 - Screenshot 72Il est toujours plus facile de s'infiltrer quand les ennemis vous tournent le dos.

    La campagne solo commence par vous débarquer en Afrique de l'Ouest, au beau milieu d'une guerre civile. Vous ne savez pas trop pourquoi les deux camps s'entretuent et vous ne prenez pas le temps de leur demander gentiment, vos missions consistant toujours à massacrer les belligérants des deux bords. Vous ne tarderez pas à découvrir qu'une étrange société secrète se trouve derrière ce conflit : la Target semble manipuler en sous-main les deux camps opposés et met en œuvre pour cela une technologie très avancée. Pas la peine de vous creuser la tête, vous ne connaîtrez pas les motivations de la Target, même après avoir débusqué l'organisation en Asie et avoir eu droit à quelques twists sans aucune saveur. Il faut dire que ces étranges ennemis font tout pour rester discrets, il suffit qu'un seul combattant isolé infiltre un de leur QG pour qu'ils fassent purement et simplement sauter toute leur installation. Bref, ne comptez pas sur le background de Bodycount pour vous émoustiller, ni sur sa réalisation graphique d'ailleurs. Les décors ont beau être partiellement destructibles, ils demeurent uniformément laids et peu inspirés. On note au passage que les développeurs ne se sont pas privés de vous faire visiter plusieurs fois la plupart des environnements... alors même que le solo se boucle en moins de cinq heures. Bref, pas la peine de vous faire un dessin, l'ensemble manque terriblement de fraîcheur, et les choses ne s'arrangent pas lorsque l'on s'intéresse au gameplay.

    Test Bodycount Xbox 360 - Screenshot 73La frappe aérienne permet de faire le ménage en beauté.

    La première chose qui saute aux yeux lorsque l'on débarque sur le champ de bataille est l'incroyable pauvreté de l'IA des ennemis. Ces derniers ont à peu près autant de réflexes qu'une colonie de moules marinières sous Lexomil : même si vous passez sous leur nez, ils mettront un temps incroyablement long à vous ajuster puis finalement à se décider de tirer. Les différents combattants que vous croisez prennent aussi un malin plaisir à tirer dans les murs, il se déplacent bêtement à la queue leu leu et ils se cachent en vous tournant tout simplement le dos lorsqu'ils doivent recharger leur arme... Ne comptez pas sur votre arsenal pour rendre les choses un peu plus sexy : le panel d'armes à votre disposition est incroyablement réduit et tout ce qu'il y a de plus classique. La seule originalité tient au système de couverture semi-automatique qui s'enclenche lorsque vous maintenez la visée. L'idée aurait pu être bonne mais ne fait finalement qu'entraver les déplacements de votre personnage qu'on aurait aimé un peu plus agile. Il reste alors la possibilité d'utiliser des bonus en remplissant une « jauge d'infos ». Non, il ne s'agit pas de s'adresser à une charmante hôtesse pour qu'elle vous indique la route à suivre, mais plutôt de récupérer des petites balises bleues autour des cadavres de vos ennemis. Ces informations vous permettront d'activer pour un court instant un boost d'adrénaline, de rendre vos munitions explosives, de demander une frappe aérienne ou de tuer instantanément les agents de la Target du secteur.

    Test Bodycount Xbox 360 - Screenshot 74Les agents de la Target veulent toujours faire exploser leurs propres bases.

    Vous aurez bien entendu droit à davantage de récompenses de ce genre si jamais vous faites preuve d'un peu d'imagination en tuant vos ennemis et surtout si vous êtes capable d'enchaîner les frags un peu spectaculaires. Ne vous attendez pas à des mises à mort totalement délirantes à la Bulletstorm, ici il s'agit tout simplement de tirer dans le dos d'un ennemi, de le faire exploser avec une grenade, de réaliser un headshot... Vous aurez droit à une note à la fin de chaque niveau mais la pauvreté du titre ne vous poussera pas vraiment à scorer. Vous espérez encore que le mode multijoueur pourra sauver la baraque ? Malheureusement ce dernier souffre des mêmes soucis que le solo et s'avère même vite incroyablement brouillon. Les modes proposés vont du simple free for all au team deathmatch le plus classique, pas de quoi sauter sur sa chaise comme un cabri. Finalement on aura bien du mal à sortir ce pauvre Bodycount de la débâcle, le seul point positif tient au fait qu'il vous permettra d'économiser un peu en attendant les FPS prometteurs qui débarqueront en fin d'année.

    Miniblob, le 02 septembre 2011

    Les notes

    • Graphismes 10/20

      Techniquement datés et artistiquement peu inspirés, les graphismes de ce Bodycount ne risquent pas vraiment de vous laisser bouche bée.

    • Jouabilité 7/20

      La prise en main est assez lourde mais c'est surtout le niveau de l'IA ennemie qui choque : vos adversaires sont tout simplement aussi futés qu'un troupeau de lemmings alcoolisés.

    • Durée de vie 7/20

      Le solo vous tiendra occupé un peu moins de cinq heures et se permet de vous faire visiter plusieurs fois les mêmes environnements. Ne comptez pas sur le multijoueur pour relancer la machine, ce dernier s'avère tout aussi brouillon que la campagne.

    • Bande son 10/20

      Une musique électro pseudo-futuriste tentera vainement d'amener un peu de rythme lors des combats censés être palpitants sans pour autant parvenir à vous sortir de votre léthargie.

    • Scénario 5/20

      Le scénario de Bodycount mérite certainement la palme du pitch le plus ridicule de l'année. Rien que le point de départ semble issu d'une mauvaise blague : on tue des belligérants pour éviter qu'ils se fassent la guerre... On se croirait dans un épisode de South Park en compagnie de l'oncle Jimbo qui chasse des bêtes sauvages pour les protéger. Les choses ne s'arrangent pas avec l'intervention de la Target, une organisation venue de nulle part, et avec les différentes révélations tordues qui sont censées vous tenir en haleine jusqu'à la fin.

    • Note Générale 8/20

      Il faut être franc, on ne s'attendait pas à ce que Bodycount soit le jeu du siècle, mais on espérait tout de même avoir droit à un beau défouloir. Finalement on se retrouve avec un nanar absolu qui parvient à être ennuyeux et répétitif malgré une campagne solo incroyablement courte. Bref, pas la peine de vous faire un dessin, Bodycount est un FPS à oublier très rapidement.

      Infos jeu

      • Bodycount
      • Editeur : Codemasters
      • Développeur : Codemasters
      • Type : FPS
      • Multijoueurs : jusqu'à 12 joueurs en ligne
      • Sortie France : 2 septembre 2011
        (30 août 2011 aux Etats-Unis)
      • Version : française
      • Classification : Déconseillé aux - de 16 ans
      • Web : Site web officiel
      • Existe aussi sur :
        Bodycount - Playstation 3

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